Agenda
Tous les participants sont les bienvenus en tant qu’observateurs.
Le Sommet mettra l'accent sur les résultats du sondage Train My Generation, la première enquête pan-africaine auprès de la génération Y sur le continent, et leur entrée sur le marché du travail. Les résultats de l'enquête seront présentés comme des recommandations politiques aux ministres et chefs d'Etat présents au NYFA. L'enquête est une initiative de Train My Generation, le fonds de formation professionnelle créé et mis en place par le New York Forum AFRICA en 2013.
Ouvert à tous les participants
Durant le NYFA, nous tiendrons deux workshops qui porteront sur le secteur minier. Ces sessions sont ouvertes à tous.
Ouvert à tous les participants
Durant le NYFA, nous tiendrons deux ateliers qui porteront sur la finance. Ces sessions sont ouvertes
à tous.
Cet atelier examinera le financement de projets d'infrastructures, notamment en travaillant avec les bailleurs de fonds internationaux et les banques internationales. Comment pouvons-nous mobiliser les ressources à long terme et quelles sont les implications pour le secteur bancaire ainsi que pour les sociétés publiques ou privées?
Ouvert à tous les participants
Cet atelier invitera les représentants des opérateurs économiques en partenariat avec l'État à partager leurs idées.
Ouvert à tous les participants
Cet atelier examinera le financement de projets privés et de PPP, y compris la recherche sur les initiatives novatrices de financement dans le secteur privé, des mesures qui pourraient être prises pour encourager les flux d'investissements privés, et les cadres juridiques et institutionnels nécessaires pour les PPP.
Ouvert à tous les participants
Cette séance permettra aux participants de se rencontrer, d’échanger, mais également de discuter des problèmes qu’ils estiment importants et de jouer un rôle dans la formation des discussions du forum. Les participants travailleront par groupes et seront assistés par notre technologie de brainstorming. Les thèmes pouvant être abordés incluent: les innovations dans le secteur des soins de santé, l’encouragement des investissements dans le secteur privé en Afrique et l’ouverture à l’emploi pour les femmes.
Market Place Live - Rencontrez LA bonne personne!
Market Place Live - Planifiez des rencontres un à un ici http://nyfa.e-180.com/#/profiles pour échanger avec d'autres participants qui partagent les mêmes intérêts que vous. Rencontrez-vous autour d'un café au Marketplace Live situé à l'entrée, entre le comptoir d''inscription et la salle où se déroulent les conférences principales. Besoin d'aide? L'équipe, Manu et Alina, sera en place pour vous donner un coup de main!
Les représentants des communautés des affaires, de la finance, des médias et les leaders politiques du New York Forum AFRICA se sont rencontrés pour la deuxième fois à Libreville il y a un an. Quels projets, idées, initiatives et affaires ont émergé depuis leur dernière rencontre ?
Au cours des 15 dernières années, une vague de changement progressif s’est déroulée à travers l'Amérique latine, et ce grâce à une nouvelle vague de dirigeants apportant un changement démocratique radical et d'énormes avantages économiques et sociaux dans leurs pays. Avec la montée de la Chine, l'émergence d'une Amérique latine indépendante est l'un des changements mondiaux les plus importants de ces dernières décennies. Les dirigeants se sont éloignés de la domination impériale pour s’orienter vers l'intégration régionale et les alliances indépendantes. Et tandis que la région reste sous-développée, avec un tiers de sa population vivant dans la pauvreté, la dernière décennie a apporté prospérité grâce à la combinaison d'une multitude de matières premières, d’une croissance rapide et durable de la production, et de grandes améliorations des conditions sociales.
- Qu’est ce que l'Afrique peut-elle apprendre de la croissance de l'Amérique latine?
Durant le NYFA, nous allons écouter des leaders mondiaux dans leurs domaines, qui contestent les systèmes et les pensées conventionnels et encouragent les idées originales ainsi que de nouvelles approches.
DEUX ACCORDS DE PRINCIPE SERONT SIGNÉS À L’OUVERTURE OFFICIELLE EN PRÉSENCE DES DÉLÉGATIONS OFFICIELLES DU GOUVERNEMENT.
Le développement d’infrastructures est décisif pour la croissance économique et la réduction de la pauvreté en Afrique ; cependant le financement public se trouve dans l’incapacité de répondre à ce besoin, et l’implication du secteur privé a été limitée à cause du manque d’un cadre d’action clair et d’institutions publiques solides avec des niveaux de gouvernance efficaces. Les agences de développement allouent plus d'un cinquième du financement public du développement (ODF) aux infrastructures de l'Afrique pour permettre l'élévation du niveau de la gouvernance et l'amélioration de l'environnement des affaires. Ces agences, à travers un large éventail d'instruments de financement, attirent les investisseurs privés ainsi que d'autres économies émergentes - comme la Chine, l'Inde et les pays arabes – pour qu’ils s'associent afin de réduire cet écart dans les investissements d'infrastructure.
- Comment les agences de développement et les nations peuvent-elles travailler ensemble de manière plus efficace et que faut-il accroitre pour la participation du secteur privé ?
Nous annoncerons au cours de cet interlude le lauréat du tout premier « Africa Design Award », sous le Patronage de Son Excellence le Président Ali Bongo Ondimba. Nous annoncerons également la création d’un prix NYFA en collaboration avec Le Point Afrique.
Ces conversations,
tenues à intervalles réguliers pendant le NYFA, sont des discussions avec des
personnalités uniques – du monde de l'entreprise, de la politique et de la
culture - couvrant leurs carrières, leurs idées, leur vision et leurs
propositions pour l'Afrique.
Ces conversations, tenues à intervalles réguliers pendant le NYFA, sont des discussions avec des personnalités uniques – du monde de l'entreprise, de la politique et de la culture - couvrant leurs carrières, leurs idées et leur vision et leurs propositions pour l'Afrique.
Les flux de capitaux et la nature des offres ont changé au cours des dernières années en Afrique. Alors que les investissements des États-Unis, de l’Europe et de la Chine demeurent importants, un nombre croissant de transactions intra-africaines se produit. Quel est l’impact probable de la tendance à l’investissement intra-africain ?
- Quels sont les secteurs qui génèrent le plus d’investissements intra-africains ?
- Quels sont les avantages et les inconvénients que les investisseurs africains apportent ?
- Les investissements intra-africains sont-ils amenés à augmenter dans les prochaines années ?
Ces conversations, tenues à intervalles réguliers pendant
le NYFA, sont des discussions avec des personnalités uniques – du monde de
l'entreprise, de la politique et de la culture - couvrant leurs carrières,
leurs idées, leur vision et leurs propositions pour l'Afrique.
Comment nous assurer que les opportunités d’investissement (au niveau domestique ou en termes d’investissements directs étrangers) sont alignées avec les stratégies de diversification et de création d’emplois ? Comment générer de la valeur à long terme pour les populations et les infrastructures, et des profits pour les investisseurs ?
- Quelles leçons positives peuvent être tirées des fonds souverains des économies émergentes ?
- Comment pouvons-nous veiller à ce que les investisseurs en actions contribuent à la croissance du secteur privé Africain?
- Comment ces fonds souverains peuvent-ils mobiliser davantage de ressources pour investir dans des projets stratégiques à forte valeur ajoutée ?
Ces conversations, tenues à intervalles réguliers pendant
le NYFA, sont des discussions avec des personnalités uniques – du monde de
l'entreprise, de la politique et de la culture - couvrant leurs carrières,
leurs idées, leur vision et leurs propositions pour l'Afrique.
Ces conversations, tenues à intervalles réguliers pendant le NYFA, sont des discussions avec des personnalités uniques – du monde de l'entreprise, de la politique et de la culture - couvrant leurs carrières, leurs idées, leur vision et leurs propositions pour l'Afrique.
TRANSFORMER LA TERRE POUR L’AGRICULTURE :La vision africaine de l’agriculture est claire : les marchés sont dynamiques aux niveaux régionaux et nationaux, et les fermiers sont actifs dans l'économie de marché, tandis que le continent devient un exportateur net de projets agricoles. Le prolongement de cette logique serait une distribution plus équitable des richesses pour les populations rurales, une production agricole du point de vue environnemental et une gestion durable des terres. S’agit-il d’une utopie agricole, ou l’Afrique est-elle en passe de réaliser ce destin ? Les gouvernements, le secteur privé et les fermiers tiennent-ils parole et assument-ils leurs responsabilités ?
- Comment pouvons-nous construire des secteurs à valeur ajoutée afin d'empêcher la fuite des revenus ?
- Comment intégrer et soutenir les petits fermiers ?
- Que pouvons-nous faire pour nous prémunir contre les hausses de prix et les catastrophes naturelles ?
- Comment augmenter les capacités et le stockage de l’eau ?
- Que faut-il faire pour améliorer l’accès au marché (finances et infrastructures/transport) ?
- Pouvons-nous garantir la sûreté des aliments ?
Ces conversations, tenues à intervalles réguliers pendant
le NYFA, sont des discussions avec des personnalités uniques – du monde de
l'entreprise, de la politique et de la culture - couvrant leurs carrières,
leurs idées, leur vision et leurs propositions pour l'Afrique.
Même si l’économie africaine a connu un développement rapide au cours des dix dernières années, certains continuent de s’interroger sur la question de savoir si cette croissance est durable et inclusive. Beaucoup craignent que la croissance ne parvienne pas à créer assez d’emplois ou à élever les niveaux de vie, et que les énormes projets d’infrastructures endommagent les écosystèmes de manière irréversible.
- Comment l’Afrique peut-elle se développer, construire et grandir d'une manière inclusive pour tous les citoyens, tout en préservant un équilibre écologique ?
Les taskforces du New York Forum sont de petits groupes de discussion interactive, qui se concentrent sur la définition d’opportunités et de solutions tangibles. Les résultats seront un ensemble de mesures pratiques et applicables par les entreprises, qui constitueront des éléments prérequis ou des catalyseurs de succès à court et long terme.Notre facilitateur rassemblera les participants en groupes restreints pour identifier les possibilités et défis relatifs au sujet. Les taskforces comprendront également des interventions d’experts de premier plan sur le sujet. Pour démarrer les discussions, des modérateurs lanceront le dialogue entre les participants.À la fin de la séance, une synthèse des opportunités fera l’objet d’une discussion, et les participants voteront pour celles qui ont leur approbation.
Cette année, nous n’assignons que des secteurs:les participants aux taskforces collaboreront pour choisir les problématiques au sein de ces secteurs sur lesquels ils souhaitent s'attarder.
Les changements climatiques ont eu un effet particulièrement néfaste sur l'agriculture africaine qui a été dégradée par les sécheresses et les inondations devenues de plus en plus imprévisibles. Or, d’après la Banque Africaine de Développement, moins de 10 % des finances sont allouées aux stratégies d’adaptation.
- Comment pouvons-nous exploiter plus efficacement les terres, l’eau, les nutriments du sol et les ressources génétiques ?
- Que peuvent faire les gouvernements pour aider, que ce soit par le biais de changements dans la législation, ou au niveau des mécanismes financiers ?
En dépit de la découverte d’importants gisements aquifères souterrains dans plusieurs régions d’Afrique, pas moins de 40 % de la population du continent n’a pas accès à l’eau potable.
- Existe-t-il des moyens pour initier des infrastructures liées à l’eau ?
- Comment les secteurs public et privé peuvent-ils travailler ensemble pour résoudre le problème de l’eau en Afrique ?
Les entrepreneurs sont une force à prendre en compte en Afrique. Que se soit pour résoudre des problèmes socio-économiques ou créer de nouveaux produits spécialement conçus pour le continent, c'est une génération de preneurs de risques et d'innovateurs. Et, dans ce processus, ils exportent des produits et de la culture africaine dans le monde tout en créant des emplois locaux.
- Comment pouvons-nous les encourager et les soutenir, et les aider à développer des entreprises évolutives, percutantes et durables?
Les médias sont l’une des industries à plus forte croissance en Afrique, et pourtant les investisseurs ne se pressent pas pour en soutenir la croissance. En outre, l’industrie des médias a entrepris d’énormes changements au cours des cinq dernières années, avec la montée en puissance des médias numériques (y compris la vidéo à la demande et une consommation toujours plus forte de nouvelles via les réseaux sociaux), et un manque de confiance envers les médias traditionnels. Entre temps, le potentiel en termes de revenus a changé depuis que les gens sont de plus en plus réticents à l’idée de payer pour un contenu sur des sites d’informations qu’ils peuvent obtenir gratuitement ailleurs.
Ces conversations, tenues à intervalles réguliers pendant
le NYFA, sont des discussions avec des personnalités uniques – du monde de
l'entreprise, de la politique et de la culture - couvrant leurs carrières,
leurs idées, leur vision et leurs propositions pour l'Afrique.
COMMENT PARVENIR À UNE TRANSFORMATION TOTALE ET LOCALE DES RESSOURCES MINIÈRES EN AFRIQUE ? La Stratégie Nationale d'Industrialisation du Gabon, développée en 2013 par le Ministère de l'Industrie et des Mines, souligne l'importance de l'élaboration locale des ressources naturelles dans le but de faire du Gabon un pays émergent à l'horizon 2025. Aujourd'hui, le secteur minier ne contribue qu'à 4% du PIB du Gabon, 11% des exportations et 1,3% des recettes budgétaires hors pétrole. Mais le Gabon a le potentiel pour construire une base industrielle pour la transformation locale des ressources minérales et ainsi augmenter de façon significative la contribution du secteur minier au PIB, la création d'emplois et les recettes fiscales. Par exemple, le Gabon est le quatrième producteur mondial de manganèse derrière la Chine, l'Afrique du Sud et l’Australie. Mais le manque de transformation locale fait que le pays ne tire pas assez de richesse du manganèse. La Stratégie Nationale d'Industrialisation s'est fixé l’objectif ambitieux de tripler la valeur ajoutée locale d’ici à 2025.
- Comment le continent peut-il créer des industries et de la diversification à valeur ajoutée?
- Les objectifs du Gabon sont-ils réalistes ?
- 100% de transformation locale : est-ce réalisable ?
- Comment les autres pays Africains appréhendent-ils cette question ?
LE RÔLE ET LES RESPONSABILITÉS DES COMPAGNIES NATIONALES PETROLIÈRES: Les ressources naturelles ont représenté environ 35 % de la croissance de l'Afrique depuis 2000, mais 80% des produits d'exportation de l'Afrique sont des produits bruts ou semi-transformés (par rapport à 40% en Inde et 14% en Chine). Malgré un fort avantage comparatif dans les ressources naturelles (avec le niveau élevé des prix de ces ressources), l'Afrique a gardé sa place dans l'économie mondiale, mais n'a pas exploité cette richesse des ressources naturelles dans la transformation structurelle qui permettra au continent de créer plus de valeur par la transformation de ces ressources, en fournissant plus d'emplois et plus de revenus pour tous.
- Comment l'Afrique peut-elle réaliser une croissance qui offre des emplois plus productifs?
- Comment le continent peut-il créer des industries et de la diversification à valeur ajoutée?
- Quel rôle peuvent jouer les gouvernements pour mieux tirer parti de ces ressources naturelles? Quelles sont les conditions adéquates pour la transformation?
- Renforcer la coopération (pan-africaine et entre le secteur public et privé) : est-ce la solution?
L’UNESCO estime que moins de 5% des Africains se lancent dans des programmes de formation professionnelle
ou technique officiels. Pourtant, dans tous les secteurs, on manque énormément
de travailleurs qualifiés locaux. Par conséquent, des étrangers qualifiés
doivent être recrutés là où les entreprises doivent réévaluer leurs opérations,
ce qui a tendance à freiner la croissance de l’Afrique. - Pourquoi un tel
clivage ?
Ces conversations, tenues à intervalles réguliers pendant le NYFA, sont des discussions avec des personnalités uniques – du monde de l'entreprise, de la politique et de la culture - couvrant leurs carrières, leurs idées, leur vision et leurs propositions pour l'Afrique.
Youssou N'Dour donnera un concert lors du NYFA. Originaire du Sénégal, considéré comme le roi du mbalax, avec une musique aux influences allant de la rumba cubaine au hip hop, jazz et soul musique, il est devenu l'un des musiciens les plus célèbres de l'histoire de l'Afrique.
Les racines profondes de Youssou N'Dour dans la musique sénégalaise et la narration restent le trait marquant de sa personnalité artistique. Après deux années de théâtre de rue, la carrière de Youssou décolle en 1972 à seulement 13 ans. Apres avoir quitté son groupe Les Étoiles de Dakar, Youssou fonda l'orchestre Super Étoile. L'orchestre fit ses débuts lors de l'Africa Fête, le festival culturel Africain. Rapidement, Youssou devient une star et obtient sa consécration internationale avec le célèbre duo 7 seconds, avec Neneh Cherry (dévoilé en 1994 sur l'album Wommat, qui incluait notamment une reprise de Chimes of Freedom par Bob Dylan), et il enregistra également dans la pure tradition griot Voices of the Heart of Africa avec l'exceptionnel Yandé Codou Sène.
Son album Dakar-Kingston, sorti en 2010 est un hommage au chanteur jamaïcain légendaire Bob Marley et une exploration des liens musicaux avec le reggae. En 2011 il obtient un doctorat honorifique de l'Université de Yale et occupe également la position de Ministre du Tourisme au Sénégal. En Août 2013, il reçoit le prestigieux prix Polar Music. Youssou N'Dour reste une personnalité très respectée dans son pays et au sein de la diaspora sénégalaise grandissante.
Au cours de ces dernières années, des réseaux de fibre optique ont éclos partout en Afrique, connectant un continent, diminuant drastiquement les coûts d’accès au Web et donnant un coup de fouet à bon nombre de nouveaux marchés (technologies de l’information, contenus, logiciels, téléphones mobiles, médias sociaux, applications, etc.). La génération Y en Afrique utilise les technologies de l'information et de la communication pour créer des opportunités et lancer des affaires. Mais ça n’est qu’un début : l’Afrique est le deuxième plus grand marché mobile au monde et les ventes de smartphones sont 4 fois plus importantes que les ventes d’ordinateurs (certaines estimations indiquent qu’il y aura un milliard de téléphones mobiles en Afrique d’ici à 2016). Six des dix économies à croissance la plus rapide se trouvent en région sub-saharienne. Comment combiner ces deux éléments, l’utilisation toujours plus importante de téléphones mobiles et l’accès toujours plus facile au Web, pour générer plus d’innovation et une industrie numérique rentable et florissante ?
- Les technologies de l’information et de la communication peuvent créer de nouvelles opportunités de revenus et d’emplois. Dans quelle mesure devons-nous placer nos efforts et nos ressources dans ce secteur ?
- Les technologies de l’information et la connectivité doivent-elles être le problème à traiter en priorité avant tous les autres ?
- Comment créer des centres locaux d’excellence basés sur la technologie ?
Ces conversations, tenues à intervalles réguliers pendant
le NYFA, sont des discussions avec des personnalités uniques – du monde de
l'entreprise, de la politique et de la culture - couvrant leurs carrières,
leurs idées, leur vision et leurs propositions pour l'Afrique.
La valeur d’une marque fiable et bien définie est indiscutable : les partisans d’une marque Afrique affirment qu’elle débloquerait une croissance durable et améliorerait la réputation de tout le continent, ainsi que sa compétitivité.
- L’Afrique se compose de 54 pays, mais combien d’entre eux tireraient parti de la création d’une marque unique, une marque Afrique ?
- Vaut-il mieux se concentrer sur des marques d’associations régionales, comme la CEMAC ?
- Fabriqué en Afrique : un label à valeur ajoutée ?
- A contrario, l’Afrique est-elle trop diverse pour être étiquetée de manière unique ? Une « homogénéité forcée » exacerbe-t-elle le problème ?
Innovation et design, s’ils font partie intégrante du
processus de production, ajouteront une valeur considérable à un produit ou à
des services en créant ainsi de la valeur pour une marque. Le panel abordera la
création d’un véritable « Design Africain » et comment l’exporter
vers d’autres marchés africains, ainsi qu’en dehors du continent.
Ces conversations, tenues à intervalles réguliers pendant
le NYFA, sont des discussions avec des personnalités uniques – du monde de
l'entreprise, de la politique et de la culture - couvrant leurs carrières,
leurs idées, leur vision et leurs propositions pour l'Afrique.
ADAPTER LES GRANDES IDÉES: Des poches d’innovation et des idées commerciales fantastiques existent partout en Afrique. Le défi est de garder ces idées en Afrique, plutôt que de voir leurs inventeurs s’exiler pour les développer dans le monde occidental. L’Afrique est un marché suffisamment grand pour gérer l’émergence d’un nouveau produit (il est plus grand que celui des États-Unis, tant que le marketing reste ciblé et qu’une prise de conscience est provoquée. Nous invitons un panel d’inventeurs à partager leurs histoires et expériences. Comment mieux soutenir et encourager la création du prochain produit révolutionnaire ?
- Les banques et les organisations de financement du secteur public comprennent-elles la valeur des investissements dans le domaine de la recherche et du développement ?
- La solution est-elle de déléguer le soutien financier au niveau local, plutôt qu’aux gouvernements nationaux ?
Ces conversations, tenues à intervalles réguliers pendant
le NYFA, sont des dialogues en profondeur avec des personnalités uniques – du
monde de l'entreprise, de la politique et de la culture - couvrant leurs
carrières, leurs idées, leur vision et leurs propositions pour l'Afrique
Les taskforces du New York Forum sont de petits groupes de discussion interactifs, qui se concentrent sur la définition d’opportunités et de solutions tangibles. Les résultats seront un ensemble de mesures pratiques et applicables par les équipes dirigeantes d’entreprises, qui constitueront des éléments prérequis ou des catalyseurs de succès à court et long terme.Notre facilitateur expert rassemblera les participants en groupes restreints pour identifier les occasions et défis relatifs au sujet. Les groupes de travail comprendront également des interventions d’experts de premier plan sur le sujet. Pour démarrer les discussions, des modérateurs lanceront le dialogue entre les participants. À la fin de la séance, un résumé des opportunités fera l’objet d’une discussion et les participants voteront pour celles qui ont leur approbation.
Pourtant, dans tous les secteurs, on manque énormément de travailleurs qualifiés locaux. Par conséquent, des étrangers qualifiés doivent être recrutés là où les entreprises doivent réévaluer leurs opérations, ce qui a tendance à freiner la croissance de l’Afrique.
- Comment impliquer le secteur privé dans la création de programmes de formation professionnelle débouchant sur des diplômés dotés des compétences appropriées ?
Quel est le meilleur moyen pour les entreprises de se concentrer sur le développement de traitements spécifiques à l'Afrique et d’investir dans la Recherche & Développement pour produire des outils de diagnostic localisés?
- Systèmes de soins de santé électroniques et centres de diagnostic mobiles
- Systèmes anti-moustiques
Des poches d’innovation et des idées commerciales fantastiques existent partout en Afrique. Le défi est de garder ces idées en Afrique, plutôt que de voir leurs inventeurs s’exiler pour les développer dans le monde occidental. L’Afrique est un marché suffisamment grand pour gérer n’importe quel nouveau produit (il est plus grand que celui des États-Unis), tant que le marketing reste ciblé et qu’une prise de conscience est provoquée.
- Les banques et les organisations de financement du secteur public comprennent-elles la valeur des investissements dans le domaine de la recherche et du développement ?
- La solution est-elle de déléguer le soutien financier au niveau local, plutôt qu’aux gouvernements nationaux ?
Un rapport de la Banque mondiale, publié à la fin de 2013, a déclaré que les pays africains peuvent rivaliser avec d'autres régions touristiques riches du monde si le tourisme devient une pierre angulaire entièrement intégrée dans leurs économies. Pour combler l'écart entre les régions enregistrant une part importante du tourisme tels que l'Asie-Pacifique (plus de 20%) et ceux qui ont une part plus faible comme l'Afrique (5%), une collaboration des gouvernements et du secteur privé est indispensable pour surmonter les obstacles tels que l’accès aux pays et la réglementation des visas.
- Comment pouvons-nous élargir les possibilités de tourisme et transformer le climat des affaires en Afrique?
- Comment pouvons-nous utiliser le tourisme pour stimuler la création d'emplois, en particulier pour les femmes et les jeunes?
Alors que les gouvernements africains sont de plus en plus focalisés sur la mise en place d’une transformation économique durable et inclusive, les opportunités se présentent enfin pour le secteur privé de répondre à la demande de technologie et d'expertise. Le secteur privé réalise déjà les deux tiers de l'investissement en Afrique, les trois quarts de sa production économique et les neuf dixièmes de son emploi formel et informel (chiffres de la Banque Africaine de Développement). Un secteur privé compétitif en Afrique alimentera la croissance durable, la réduction de la pauvreté, et les possibilités pour tous les citoyens.
- Comment les gouvernements peuvent-ils favoriser la croissance du secteur privé?
- Comment le secteur privé peut-il assurer une croissance durable et inclusive?
Alors que le secteur des médias Afrique est en croissance, il a encore du chemin à parcourir en termes de respect des normes internationales, de la propriété intellectuelle et en terme d’engagement pour des informations factuelles. En parallèle à cette croissance, une explosion des médias sociaux et des sources non officiels et les blogs - «journalistes citoyens» - qui ne sont ni surveillés ni responsables. Est-ce le résultat d'un monde globalisé en ligne, où tout le monde a une voix, ou d’une combinaison de circonstances qui font que les médias africains sont à blâmer ?
- Comment pouvons-nous apporter un cadre éthique international à l'Afrique?
- Comment pouvons-nous modérer, mais pas censurer?
Comment les États-Unis sont ils vus
par l’Afrique ? Et comment pouvons-nous optimiser les avantages pour
l'Afrique en travaillant plus efficacement avec les États-Unis? - Quelles sont les possibilités qui
sont les plus facilement accessibles? Et comment pouvons nous construire un
partenariat pour les deux continents ? Qu’est ce que l’Afrique peut
attendre des États-Unis dans le future ?
Auparavant axé sur le tourisme et l'agriculture, le Maroc a
diversifié son économie au cours de la dernière décennie pour attirer les
investissements et offrir une augmentation de la valeur ajoutée, à travers la
construction de centres d'excellence et via un programme de réformes globales
visant à améliorer le climat des affaires. Le Maroc est aujourd'hui l'une des
économies les plus compétitives au monde. - Quelles sont les facteurs de succès clés du business model
marocain ?
Aujourd’hui, les citoyens africains sont confrontés à un ensemble de défis uniques : un marché du travail imprévisible et de mauvaises conditions économiques globales. Ils choisissent d’exprimer leurs opinions par le biais des médias sociaux, ou plus ouvertement, dans la rue. De nouvelles générations de jeunes hommes et de jeunes femmes émergent partout en Afrique et développent des stratégies pour surmonter les problèmes de tous les jours aux niveaux local et national. Mais leurs capacités combinées n’ont pas été complètement exploitées. En parallèle de cet activisme toujours plus important, nous trouvons un esprit d’entreprise tout aussi grandissant, une volonté de traverser les frontières à la recherche de nouvelles opportunités et la compréhension d’un monde toujours plus interconnecté. Comment les leaders d’aujourd’hui (entreprises et gouvernements confondus) communiquent-ils avec eux ?
- Comment tirer profit de tout le potentiel de ces femmes et de ces jeunes ?
Au cours du NYFA, nous allons écouter des leaders internationaux dans leurs domaines, qui contestent la pensée conventionnelle pour encourager la créativité et les idées originales.
Quels projets, idées, et initiatives ont émergé lors du NYFA, et que nous réservent les 12 prochains mois ?